mercredi 8 juillet 2009

Météo, alliée et ennemie de l'écrivain

Heureusement, la météo est parfois favorable.
J'ai remarqué qu'il est plus facile de rester devant son écran, concentré sur les phrases qui vont peupler les pages blanches, quand des rafales de pluie et de grêle s'abattent au dehors, que lorsque le soleil s'emploie à vouloir m'attirer sous ses rayons.
Du coup, j'ai pu rajouter 3 pages à mon roman.
Des pages qui se sont enchaînées assez facilement.
Mais je sens déjà poindre à l'horizon les premières difficultés.
Des thrillers, j'en ai lu beaucoup, je les ai dévoré. Parfois sans me rendre compte des remparts qu'avaient dûes rencontrer les auteurs.
Je veux parler des scènes d'autopsie.
Demain, j'attaque la mienne. Mais je ne suis pas de la profession, et ma scolarité n'a jamais été valorisée par mes résultats en Biologie. Il paraît qu'aujourd'hui on dit "Sciences Naturelles".
Du coup, je potasse, je lis et relis des passages du fabuleux "La parole est au cadavre" du Lieutenant de Police Perrine Rogiez-Thubert.
Mon ami Google fulmine et enrage. Il n'en peut plus que je mette les mains dans son moteur, et que je le nourrisse de "scène de crime", "nécropsie", "autopsie", "examen externe", "examen interne"...
Je suis dubitatif et légèrement anxieux.
Serais-je aussi prolifique demain ? (bah oui, 3 pages pour moi, c'est prolifique)
Mais voilà... Demain sera un autre jour ;)

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